Le Mokélé - Mbembé : un dinosaure encore vivant dans les jungles d'Afrique
Science et Inexpliqué numéro 33 - mai , juin 2013
Le dino perdu du Congo
Science et Vie Junior numéro 287 - août 2013
Un dinosaure vivant en Afrique : énigme scientifique ou découverte fondamentale ?
Science Magazine numéro 39 - août 2013
DNA 6 août 2013 : carnets d'exploration - A la recherche d'un dinosaure. Pascal Coquis
DNA 7 août 2013 : carnets d'exploration - Sur la route du Cameroun. Pascal Coquis
DNA 8 août 2013 : carnets d'exploration - La vie à l'ombre de la forêt vierge. Pascal Coquis
DNA 9 août 2013 : carnets d'exploration - Les pygmées, peuple en danger. Pascal Coquis
DNA 10 août 2013 : carnets d'exploration - L'éléphant de forêt en péril. Pascal Coquis
DNA 11 août 2013 : carnets d'exploration - Au coeur de la forêt. Pascal Coquis

MOKELE - MBEMBE EXPEDITIONS : Depuis plus d'un siècle, explorateurs, chasseurs, missionnaires,militaires, scientifiques ont ramené de leurs périples des récits sur l'existence d'un grand animal qui habiterait les rivières et fleuves de l'Afrique Centrale. Ces témoignages furent toujours corroborés par ceux des pygmées qui le nomme : MOKELE - MBEMBE. A côté de cette recherche scientifique Ngoko s'investit dans la protection des éléphants du Parc National de NKI au Cameroun.
Le regard d'un monde vers l 'autre
22 September 2013
EXPEDITION JUILLET 2013 PASCAL COQUIS - MICHEL BALLOT
Cette expédition menée grâce au soutien financier et logistique du Comptoir Général (80 Quai de Jemmapes Paris 75010 - Ghetto Museum ) et de l'apport en matériel de Décathlon, avait plusieurs buts:
- faire connaître la région du sud - est Cameroun au travers d'articles rédigés par un journaliste professionnel, en l'occurence Pascal Coquis, grand reporter et éditorialiste aux Dernières Nouvelles d'Alsace.
- mettre en avant tous les problèmes liés à cette sous région du bassin du Congo en particulier, ceux relatifs au braconnage, à la sauvegarde de la biodiversité et soulever les problèmes rencontrés par les pygmées Baka afin de sauver leur identité culturelle.
Parrallèlement nous avons bien entendu poursuivi des recherches sur le Mokélé - Mbembé dans la zone des chutes Nki et avons pu consolider certains témoignages et en trouver d'autres nous confortant dans notre hypothèse que cette espèce trouve refuge en certaines périodes de l'année dans cette zone éloignée de cent kilomètres du premier village habité.
SI VOUS DESIREZ QUE NOUS VOUS FASSIONS PARVENIR LES SIX VOLETS DES ARTICLES DE PASCAL COQUIS PARUS DANS LES DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE DU MOIS D'AOUT 2013,MERCI DE NOUS LE DEMANDER PAR MAIL:
angyetmikeballot@wanadoo.fr
ET NOUS VOUS LES FERONS PARVENIR DANS VOS BOITES MAIL
Michel dans un campement pygmée près dans la forêt de Mambélé
André Ghislin dessinant la tête la tête du Mokélé - Mbembé qu'il rencontra sur une berge du fleuve Dja à la fin des années 1980. On notera que l'oreille a été dessinée en rond au centre du dessin et qu'à l'arrière de la tête apparaissent des protubérances appelées griffes qui se trouveraient selon le témoin sur tout le haut du corps jusqu'à l'extrémité de la queue.
Traces de pattes bien mystérieuses trouvées sur l'île aux Abeilles sur le Dja. Ni crocodile, ni loutre, peut - être un très gros varan, mais inconnues de nos pisteurs
Un très beau spécimen de crocodile du Nil ( appelé caïman dans la région ) d'au moins cinq mètres
Pascal Coquis et le pisteur Noël dans les chutes Nki
Dans le Parc National de la Lobéké sur la piste des éléphants de forêts et des gorilles
- faire connaître la région du sud - est Cameroun au travers d'articles rédigés par un journaliste professionnel, en l'occurence Pascal Coquis, grand reporter et éditorialiste aux Dernières Nouvelles d'Alsace.
- mettre en avant tous les problèmes liés à cette sous région du bassin du Congo en particulier, ceux relatifs au braconnage, à la sauvegarde de la biodiversité et soulever les problèmes rencontrés par les pygmées Baka afin de sauver leur identité culturelle.
Parrallèlement nous avons bien entendu poursuivi des recherches sur le Mokélé - Mbembé dans la zone des chutes Nki et avons pu consolider certains témoignages et en trouver d'autres nous confortant dans notre hypothèse que cette espèce trouve refuge en certaines périodes de l'année dans cette zone éloignée de cent kilomètres du premier village habité.
SI VOUS DESIREZ QUE NOUS VOUS FASSIONS PARVENIR LES SIX VOLETS DES ARTICLES DE PASCAL COQUIS PARUS DANS LES DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE DU MOIS D'AOUT 2013,MERCI DE NOUS LE DEMANDER PAR MAIL:
angyetmikeballot@wanadoo.fr
ET NOUS VOUS LES FERONS PARVENIR DANS VOS BOITES MAIL
Michel dans un campement pygmée près dans la forêt de Mambélé
André Ghislin dessinant la tête la tête du Mokélé - Mbembé qu'il rencontra sur une berge du fleuve Dja à la fin des années 1980. On notera que l'oreille a été dessinée en rond au centre du dessin et qu'à l'arrière de la tête apparaissent des protubérances appelées griffes qui se trouveraient selon le témoin sur tout le haut du corps jusqu'à l'extrémité de la queue.
Traces de pattes bien mystérieuses trouvées sur l'île aux Abeilles sur le Dja. Ni crocodile, ni loutre, peut - être un très gros varan, mais inconnues de nos pisteurs
Un très beau spécimen de crocodile du Nil ( appelé caïman dans la région ) d'au moins cinq mètres
Pascal Coquis et le pisteur Noël dans les chutes Nki
Dans le Parc National de la Lobéké sur la piste des éléphants de forêts et des gorilles
24 April 2013
Notes de Bill Gibbons sur notre expédition de novembre 2012
Bill Gibbons qui nous accompagnait avec John Kirk durant notre difficile expédition de novembre rapporte quelques notes qu'il nous confie :
" Le voyage a été particulièrement dur en raison des fortes pluies tardives et de l'état des pistes. Nous arrivèrent avec peine au dernier campement de la zone un campement du WWF situé dans la localité de Ndongo. De là nous parcourâmes cent kilomètres sur le fleuve Dja jusqu'aux chutes Nki. Dans cette zone il n'y pas de villages, il n'y a plus personne et même les rares pêcheurs évitent ces zones en raison des trop nombreuses rencontres avec les Mokélé - Mbembé. Nous avons rapporté de nombreux témoignages sur plusieurs rencontres avec le Mokélé - Mbembé par des villageois avec qui je ne m'étais jamais entretenu auparavant. Un jour mon plus jeune fils Andrew se rendit aux chutes pour une mission de reconnaissance en compagnie des deux explorateurs Michel Ballot et Serge Grispoux et nous restâmes avec John Kirk au campement de base. Un matin tôt, alors que nous étions au campement près de la berge nous entendîmes des souffles gutturaux puissants qui semblaient venir de la rivière au sud de notre campement alors que nous étions sur le côté ouest de la rive. Avec l'épais feuillage il nous fut impossible de voir à qui appartenait ces étonnantes vocalises, mais le souffle était de plus en plus fort comme si l'animal se dirigeait vers nous. Après le troisième son nous entendîmes le bruit du moteur hors bord ou se trouvaient Michel, Serge et Andrew, avec les pisteurs. La pirogue avancait vers nous vers le sud, vers notre camp et les beugelments arrêtèrent. Blaise et Noel, nos pisteurs identifièrent ce beugelemnt à un rappel territorail du Mokélé - Mbembé. L'animal a du plonger dans l'eau a l'arrivée de la pirogue, avec le bruit du moteur hors-bord.
Michel étant très malade nous dûmes rentrer au plus vite à l'hôpital de brousse de Salapoumbé afin qu'on puisse lui donner les premiers soins".
Bill Gibbons
" Le voyage a été particulièrement dur en raison des fortes pluies tardives et de l'état des pistes. Nous arrivèrent avec peine au dernier campement de la zone un campement du WWF situé dans la localité de Ndongo. De là nous parcourâmes cent kilomètres sur le fleuve Dja jusqu'aux chutes Nki. Dans cette zone il n'y pas de villages, il n'y a plus personne et même les rares pêcheurs évitent ces zones en raison des trop nombreuses rencontres avec les Mokélé - Mbembé. Nous avons rapporté de nombreux témoignages sur plusieurs rencontres avec le Mokélé - Mbembé par des villageois avec qui je ne m'étais jamais entretenu auparavant. Un jour mon plus jeune fils Andrew se rendit aux chutes pour une mission de reconnaissance en compagnie des deux explorateurs Michel Ballot et Serge Grispoux et nous restâmes avec John Kirk au campement de base. Un matin tôt, alors que nous étions au campement près de la berge nous entendîmes des souffles gutturaux puissants qui semblaient venir de la rivière au sud de notre campement alors que nous étions sur le côté ouest de la rive. Avec l'épais feuillage il nous fut impossible de voir à qui appartenait ces étonnantes vocalises, mais le souffle était de plus en plus fort comme si l'animal se dirigeait vers nous. Après le troisième son nous entendîmes le bruit du moteur hors bord ou se trouvaient Michel, Serge et Andrew, avec les pisteurs. La pirogue avancait vers nous vers le sud, vers notre camp et les beugelments arrêtèrent. Blaise et Noel, nos pisteurs identifièrent ce beugelemnt à un rappel territorail du Mokélé - Mbembé. L'animal a du plonger dans l'eau a l'arrivée de la pirogue, avec le bruit du moteur hors-bord.
Michel étant très malade nous dûmes rentrer au plus vite à l'hôpital de brousse de Salapoumbé afin qu'on puisse lui donner les premiers soins".
Bill Gibbons
31 March 2013
Du nouveau pour MOKELEMBEMBEEXPEDITIONS
Nos expéditions futures seront mises en place dans quelques semaines par deux nouvelles structures qui favoriseront nos treks au Cameroun et au Gabon ainsi que nos recherches sur le terrain sur la piste du Mokélé - Mbembé. Durant de nombreuses années notre association Ngoko a tissé les liens auprès des populations locales afin de développer nos projets de protection des espèces animales et de mise en place d'un programme de recherche sur les espèces encore inconnues de la cuvette congolaise. Aujourd'hui nous devons travailler avec des partenaires afin de metre en place une logistique de terrain dans ces zones à facteurs écologiques favorables qui nous permettra très certainement dans les années à venir de mieux préserver la faune existante et celle à découvrir.
Merci de vos soutiens
19 March 2013
QUELQUES NEWS SUR LE MOKELE - MBEMBE, LE DODE ET LE SAPARA 2012. EXPEDITION NKI II NOVEMBRE - DECEMBRE 2012
Lors de notre mission Nki de novembre et décembre 2012 nous avons obtenu des informations intéressantes.
Comme je m'en doutais il semble que l'un des repères de cette espèce soit situé dans cette zone des chutes Nki située à 100 kilomètres de toute habitation. Nous nous trouvons dans une zone à facteurs écologiques favorables ( ZAFEF ). Un matin tôt l"équipe canadienne qui travaillait avec nous a entendu avec leurs guides un bruit très important venant de la rivière à environ un quart d'heure des chutes en pirogue à moteur. Les pisteurs pygmées avaient quelquefois entendu ce cri et l"on tout de suite reconnu comme étant celui d'un Mokele - Mbembe. L'équipe dans laquelle nous nous trouvions avec Serge Grispoux se trouvait ce matin là en exploration vers les chutes.
Un pêcheur Sénégalais connu depuis des années dans cette zone au nom de Al Assam nous a confirmé avoir vu le Mokele - Mbembe quelques années auparavant vers les chutes Nki à environ 90 kilomètres du village de Ndongo. L'animal avit un cou long mais aussi des " piquants " sur tout le haut du corps. Il vit l'animal fin janvier 2005;
De plus nous avons eu des informations sur le Dode en language Bakouélé communément appelé Dodu. Ce bipède aurait des cheveux longs, est grand, souvent plus qu'un homme avec une peau virant sur le rouge et sentirait très mauvais. Son iris serait vertical. En 2000 un pisteur a traqué un Dode pendant sept jours. Il aurait trois doigts de pieds énormes. Dans les villages et habitations le long de cette partie de la Sangha on dit que les femmes qui vont pêcher sont parfois poursuivies par le Dode. On le nomme aussi Dangoma dans le language Mbimo.
On nous a aussi parlé d'un chimpanzé géant nommé Sapara en language Bakouelé; qui marche avec des gorudins ou des bâtons. Il pourrait aussi marcher sur ses deux pattes. Il serait moins agressif que le chimpanzé commun nommé Seka en Baka. Il y a quelques années ( 2006 ° un chasseur Baka a tué l"un de ces Sapara. Un autre est venu lui porter secours et l'aurait emmené. Son corps serait clair avec peu de poils et ses cheveux seraint souples.
Une grave infection intestinale virale ne me permis pas de continuer les recherches dans cette zone. Avec mes amis et coéquipiers français et canadiens nous rejoignimes un hôpital de brousse où je fus soigné plusieurs jours avant de rentrer en France.
Michel Ballot. Copyright 2013
Michel Ballot. Copyright
Comme je m'en doutais il semble que l'un des repères de cette espèce soit situé dans cette zone des chutes Nki située à 100 kilomètres de toute habitation. Nous nous trouvons dans une zone à facteurs écologiques favorables ( ZAFEF ). Un matin tôt l"équipe canadienne qui travaillait avec nous a entendu avec leurs guides un bruit très important venant de la rivière à environ un quart d'heure des chutes en pirogue à moteur. Les pisteurs pygmées avaient quelquefois entendu ce cri et l"on tout de suite reconnu comme étant celui d'un Mokele - Mbembe. L'équipe dans laquelle nous nous trouvions avec Serge Grispoux se trouvait ce matin là en exploration vers les chutes.
Un pêcheur Sénégalais connu depuis des années dans cette zone au nom de Al Assam nous a confirmé avoir vu le Mokele - Mbembe quelques années auparavant vers les chutes Nki à environ 90 kilomètres du village de Ndongo. L'animal avit un cou long mais aussi des " piquants " sur tout le haut du corps. Il vit l'animal fin janvier 2005;
De plus nous avons eu des informations sur le Dode en language Bakouélé communément appelé Dodu. Ce bipède aurait des cheveux longs, est grand, souvent plus qu'un homme avec une peau virant sur le rouge et sentirait très mauvais. Son iris serait vertical. En 2000 un pisteur a traqué un Dode pendant sept jours. Il aurait trois doigts de pieds énormes. Dans les villages et habitations le long de cette partie de la Sangha on dit que les femmes qui vont pêcher sont parfois poursuivies par le Dode. On le nomme aussi Dangoma dans le language Mbimo.
On nous a aussi parlé d'un chimpanzé géant nommé Sapara en language Bakouelé; qui marche avec des gorudins ou des bâtons. Il pourrait aussi marcher sur ses deux pattes. Il serait moins agressif que le chimpanzé commun nommé Seka en Baka. Il y a quelques années ( 2006 ° un chasseur Baka a tué l"un de ces Sapara. Un autre est venu lui porter secours et l'aurait emmené. Son corps serait clair avec peu de poils et ses cheveux seraint souples.
Une grave infection intestinale virale ne me permis pas de continuer les recherches dans cette zone. Avec mes amis et coéquipiers français et canadiens nous rejoignimes un hôpital de brousse où je fus soigné plusieurs jours avant de rentrer en France.
Michel Ballot. Copyright 2013
Michel Ballot. Copyright
13 December 2012
02 December 2012
MISSION NKI II Novembre 2012
JOURNAL DE BORD ( extrait)
Serge Grispoux
Vers les chutes Nki...
Un long trajet en 4X4 nous mène en deux étapes de Yaoundé aux pistes du Sud - Est du Cameroun. Là, un bourbier nous piège. Il nous faut, grâce à l'aide des habitants voisins, trois heures pour nous dégager et enfin arriver au village de Ndongo. Au - delà, plus de piste, rien que la forêt et le fleuve Dja. Nous remontons celui - ci en deux jours. Après avoir campé sur une île, le matin de la deuxième journée, nous trouve face aux rapides de Chollet. Notre moteur n'étant pas assez puissant nous devons débarquer et nous frayer un chemin dans la végétation de la rive pendant que Blaise, notre pisteur, remonte seul le courant. Cette première marche en forêt fût assez éprouvante pour certains d'entre nous. Remontant dans la pirogue nous reprenons notre progression dans cette nature sauvage et grandiose. Nulle présence humaine, seuls des aigles pêcheurs nous survolent parfois et on entr'aperçoit quelques singes colobes dans les arbres de la berge. Soudain des craquements de bois brisés et un barrisement. Les éléphants! Ils sont là, toute une famille longeant le fleuve , menée par le grand mâle qui nous a claironné. Les éléphanteaux, houspillés par leurs mères, pressent le pas en nous jetant des regards empreints de curiosité. Magnifique vision. Dans l'après - midi nous arrivons au " Camp Silure " ou nous avons campé il y a cinq mois. Nous sommes à quatre kilomètres des chutes et à cent kilomètres de Ndongo.
Le lendemain à l'aube nous tentons d'aller jusqu'aux chutes. Par trois fois un rapide nous repousse et ce n'est qu'en pagayant de toutes nos forces pour aider le moteur que nous passons enfin. Nous abordons; un crocodile d'environ deux mètres, surpris, saute à l'eau. Le niveau de la rivière est très haut, il nous faut escalader et ouvrir une piste dans la forêt, à la machette pour arriver devant la grande chute de Nki. Scindée en deux par un énorme monolithe, la rivière tombe en cataractes d'une vingtaine de mètres dans un brutal et perpétuel bouillonnement. Le spectacle est fabuleux, puissant et intemporel. Malheureusement nous ne pouvons rester, deux de nos équipiers étant épuisés, nous devons rentrer et c'est en sept heures que nous descendons le fleuve grâce au courant. Nous retrouvons Ndongo.
Vous comprendrez que ce genre de périple s'adresse à des personnes ayant l'esprit aventureux, en bonne forme physique et très motivées par la découverte de la grande forêt équatoriale...
Nos deux fidèles pisteurs Noel et Blaise qui nous amenèrent jusqu'au bout du fleuveEléphant photographié sur les bords du fleuve Dja
Serge Grispoux pour notre quatrième expédition ensemble
Eléphant photographié sur les bords du Dja
En route vers les chutes Nki
Arrivée aux abords des chutes Nki
Serge Grispoux escaladant les parois rocheuses afin d'arriver aux chutes
La piste de Ndongo qui mène au fleuve Dja ( photo Serge Grispoux )
Bill Gibbons et John Kirk
John KIRK - Bill GIBBONS - Serge GRISPOUX - Bac de Moloundou sur la frontière congolaise
John KIRK discutant avec un témoin sur le bac à Moloundou le long de la frontière Cameroun - Congo
Aigle pêcheur ( photo Serge Grispoux)
Enfin l'arrivée aux chutes
Le chercheur et cryptozoologue canadien John Kirk qui nous accompagnait
Bill Gibbons qui nous accompagnait qui recherche le Mokele - Mbembe depuis de nombreuses années, d'abord dans une zone au nord du lac Télé au Congo puis dans la même région que celle explorée par Michel au Cameroun. Les informations recoupées par les deux explorateurs permettent à ce jour de dresser un portrait robot de l'espèce recherchée.
Cette expédition fut importante car il s'agit d'une collaboration franco - canadienne qui a permis de
fonder de sérieux espoirs pour les recherches futures
Retour vers la civilisation
Je remercie Serge Grispoux, Bill Gibbons, son fils Andrew, John Kirk de m'avoir accompagné dans ce nouveau périple, sans oublier nos fidèles pisteurs Noël et Blaise, la population de Ndongo et tout le personnel de l'hôpital de Salapoumbé
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