
MOKELE - MBEMBE EXPEDITIONS : Depuis plus d'un siècle, explorateurs, chasseurs, missionnaires,militaires, scientifiques ont ramené de leurs périples des récits sur l'existence d'un grand animal qui habiterait les rivières et fleuves de l'Afrique Centrale. Ces témoignages furent toujours corroborés par ceux des pygmées qui le nomme : MOKELE - MBEMBE. A côté de cette recherche scientifique Ngoko s'investit dans la protection des éléphants du Parc National de NKI au Cameroun.
Le regard d'un monde vers l 'autre
12 December 2014
ARTICLE SUR LE MONSTRE DU LAC LABYNKYR ET SUR LE MOKELE MBEMBE - Revue Octopus / Octobre - Décembre 2014
Un article très intéressant dans la revue de plongée Octopus où il est question du compte rendu de la dernière expédition russe au lac Labynkyr en Sibérie et sur nos recherches sur le Mokélé - Mbembé avec en vedette une superbe photo de Serge Grispoux, au milieu du fleuve Dja, plongeur reporter qui nous a souvent accompagné dans nos expéditions entre le Cameroun et le Congo.
01 November 2014
ARTICLE SUR LE LION D'EAU DANS SCIENCE ET INEXPLIQUE
Chaque deux mois , grâce à la passion qui anime le fondateur de cette excellente revue, Nicolas Montigiani, des articles sur la cryptozoologie intéressent de plus en plus les lecteurs.
Pour le dernier numéro de cette année 2014, j'ai fait un rapide tour d'horizon sur l'existence probable d'un grand félin semi - aquatique à l'aire de distribution immense, allant de l'Angola, au Gabon en passant par le Cameroun, la Centrafrique et le Congo.
A LA RECHERCHE DU FEROCE LION D'EAU
texte : Michel Ballot
illustrations : Christian Le Noël
Science et Inexpliqué, pages 34-37
Numéro 42 - Novembre / Décembre 2014
Pour le dernier numéro de cette année 2014, j'ai fait un rapide tour d'horizon sur l'existence probable d'un grand félin semi - aquatique à l'aire de distribution immense, allant de l'Angola, au Gabon en passant par le Cameroun, la Centrafrique et le Congo.
A LA RECHERCHE DU FEROCE LION D'EAU
texte : Michel Ballot
illustrations : Christian Le Noël
Science et Inexpliqué, pages 34-37
Numéro 42 - Novembre / Décembre 2014
26 October 2014
TEMOIGNAGE HISTORIQUE NOUVEAU SUR LE MOKELE MBEMBE DU LAC TELE:
Lors de mon passage à l'émission d'RTL le 13 octobre dernièr j'eus l'agréable surprise de recevoir un livre de Monsieur Jacques Charpentier : Vagabondages à travers le Congo, la Centrafrique et d'ailleurs... L'Harmattan - 2006.
Monsieur Charpentier participa dès 1949 aux diverses missions hydrographiques sur les différends fleuves du Congo et de l'Oubangui. Il passa 40 ans dans toute cette zone. Il se rendit plusieurs fois au lac Télé entre 1949 et 1954. Il obtînt des renseignements précis par un sergent qui connaissait bien la région et qui était de cette région, un guerrier Bomitabas. Il apporta le rapport ci - dessous à Monsieur Charpentier.
" BREF APERCU SUR LA REGION DE LA LIKOUALA AUX HERBES ET SES REALITES - LAC TELE."
Par le Sergent Gilbert
Le lac Télé se situe à près d'une centaine de kilomètres au sud ouest d'Epena. L'inondation dans la région ne permettant pas l'établissement d'une voix directe allant d'Epena au lac, on est donc obligé de redescendre le cours de la Likouala aux Herbes jusqu'à Boha, petit village situé à près de 55 kilomètres, à partir duquel on emprunte une piste jusqu'au lac.
- la réussite d'une mission quelconque au lac dépend du consentement des autochtones et de la confiance qu'ils peuvent accorder aux missionnaires.
- entendre parler de l'existence d'un monstre ne paraît pas étonnant aux habitants de cette région car notre rivière, la Likouala Aux Herbes renferme bien des monstres connus sous le nom de Mokelembembe, ce sont :
1/. Le Mahamba
2/. Le Mbielou - Mbielou - Mbielou
3/. Le Emela - Ntouka
- Le Mahamba résulte de l'évolution du caïman géant, communément appelé Nkoli par les originaires. Une fois atteint le stade du Mahamba ce monstre creuse un tunnel d'environ 500 mètres voire 1 kilomètre, qui se termine par un gros trou dans lequel il se repose.
- le Mbielou Mbielou Mbielou selon les commentateurs autochtones apparaît souvent au milieu de la rivière à des heures où celle - ci semble le plus calme possible. Son apparence reflète des branchages morts semblables aux cornes d'une antilope.
- L'Emela - Ntouka a une description qui renvoie au rhinocéros. Les autochtones ajoutent qu'il est en mesure de barrer toute la rivière, provoquant ainsi une chute d'eau.
Passons au lac proprement dit :
Etant originaire du petit village de Boha et m'étant rendu plus de cinq fois au lac, j'ai pu vivre certaines expériences dont trois me sont restées mémorables.
- au cours d'une pêche nocturne ayant tenté d'éclairer la berge du lac par ma lampe torche, grande a été ma surprise de voir ma lampe torche s'éteindre brusquement, l'ampoule grillée et le verre cassé. L'expérience a été également vécue par des personnes autres que moi.
- le lac n'admet aucun corps étranger. C'est à dire quelque chose une fois jetée au large du lac provoque de violentes vagues qui le ramène à bord.
- un moteur hors bord ne peut jamais naviguer sur le lac, sinon d'un coup sec tout se grille. Hormis ces trois expériences que j'ai vécues, il en existe d'autres.
Il y a par exemple, au lac certains endroits mystérieux fructueux en viande et en poissons, mais dont l'exploitation est extrêmement dangereuse, car une fois que l'on exploite l'endroit, on se retrouve victime des panthères.
Jadis, les environs du lac étaient habités par les pygmées. Ceux ci jour après jour avaient remarqué l'agrandissement du lac et entendaient des bruits horribles issus des manœuvres du monstre. Ainsi, à plus de trois fois, ils tentèrent d'aller à l'encontre du monstre.
Il arriva un jour où un homme et sa femme allant à la pêche remarquèrent des éboulements provoqués la veille par le monstre. Ils comprirent que c'est de là que résultaient les horribles bruits qu'ils entendaient chaque nuit. Ayant localisé l'endroit, ils allèrent aussitôt alerter les autres et un plan d'action fut arboré pour l'anéantissement du monstre.
Dans une première et seconde fois, les pygmées réussirent d'atteindre la bête, cependant celles ci se sauvait toujours en se jetant dans le lac. C'est à ce moment qu'ils conçurent l'idée de construire des barrages le long de la piste qu'empruntait le monstre. Il y avait au total neuf barrages. Ils décidèrent enfin d'attaquer le monstre à coups de sagaies et chaque fois les barrages constituaient un obstacle dans la progression en direction du lac. Ce n'était qu'après avoir franchi le neuvième barrage que le monstre succomba.
A cet endroit où il succomba, les pygmées voyant le monstre qui paraissait être debout, pensèrent que l'endroit était peu profond. Ils tentèrent alors par des perches de mesurer la profondeur, mais malheureusement ces perches n'atteignirent jamais le fond ? ( ces précisions servent uniquement à nous donner une idée sur la hauteur que pouvait atteindre le monstre ).
Ne pouvant atteindre le sol, le dépècement fût fait à la nage, des pirogues de viande furent remplies. Alors à la grande surprise ce n'était que le lendemain en revenant, nos chasseurs retrouvaient la bête sans aucune égratignure. Elle redevenait intacte, dit -on. Cela ne fît malheureusement pas peur à nos pygmées qui se contentèrent de manger. Tous moururent rapidement, sauf un seul; celui - là, un voyant, n'avait pas participé à l'opération. Il fût le seul survivant de ce village et le seul témoin de l'enlèvement. Ce village , de nos jours, existe encore.
Ces témoignages qui semblent fictifs sont pourtant vrais. Tous les habitants de Boha le savent; et ce que je rapporte n'est autre que le témoignage de mon grand - père et celui de certains vieux de Boha qui vivent à l'heure actuelle. Ce désastre fut l'objet de démarches auprès des féticheurs et c'est de là que sera interprété le message du monstre qui interdisait à sa femelle et à ses deux petits de ne plus poursuivre l'entreprise, qui était d'agrandir le lac et le déboucher dans les cours d'eau. L'endroit où se trouve le monstre actuel paraît être bien connu par les habitants de Boha, mon grand - père, avant sa mort, m'avait montré le prétendu endroit.
Si de nos jours, les savants parlent de l'existence d'un monstre au lac, cela n'est pas pour nous une surprise, non plus une découverte, mais plutôt une confirmation de ce que nous connaissons déjà.
Toutefois je dois vous affirmer que le lac n'est pas navigable et que la traversée en diamètre est pratiquement impossible car j'ai tenté vainement l'expérience. Mais le tour est possible et s'effectue en 12 heures. Les bêtes qui inondent le lac sont les pythons et les caïmans que l'on rencontre le long du trajet.
Le lac ayant ses réalités ancestrales, les missionnaires chercheurs ont intérêt à contacter les vieux et notables du village de Boha qui pourront à leur tour organiser des cérémonies traditionnelles leur permettant de mieux mener les entreprises. Sans quoi la mission pourra facilement échouer.
En résumé, si je me suis assigné le devoir de vous donner en quelques lignes ce bref aperçu, c'est pour éclairer certains responsables du pays qui semblent ignorer l'importante richesse que couvre ce lac. Dans le souci d'éclairer les masses congolaises sur la réalité du lac, nous demanderons à nos responsables de mettre en place un groupe de chercheurs qui se rendra compte sur place des réalités, car çà et là dans les rues de Brazzaville l'on ne cesse d'entendre les commentaires les plus épouvantables. Le moment étant venu pour l'histoire qui poursuit son chemin, nos chercheurs sont mieux placés pour en dire mieux.
Monsieur Charpentier participa dès 1949 aux diverses missions hydrographiques sur les différends fleuves du Congo et de l'Oubangui. Il passa 40 ans dans toute cette zone. Il se rendit plusieurs fois au lac Télé entre 1949 et 1954. Il obtînt des renseignements précis par un sergent qui connaissait bien la région et qui était de cette région, un guerrier Bomitabas. Il apporta le rapport ci - dessous à Monsieur Charpentier.
" BREF APERCU SUR LA REGION DE LA LIKOUALA AUX HERBES ET SES REALITES - LAC TELE."
Par le Sergent Gilbert
Le lac Télé se situe à près d'une centaine de kilomètres au sud ouest d'Epena. L'inondation dans la région ne permettant pas l'établissement d'une voix directe allant d'Epena au lac, on est donc obligé de redescendre le cours de la Likouala aux Herbes jusqu'à Boha, petit village situé à près de 55 kilomètres, à partir duquel on emprunte une piste jusqu'au lac.
- la réussite d'une mission quelconque au lac dépend du consentement des autochtones et de la confiance qu'ils peuvent accorder aux missionnaires.
- entendre parler de l'existence d'un monstre ne paraît pas étonnant aux habitants de cette région car notre rivière, la Likouala Aux Herbes renferme bien des monstres connus sous le nom de Mokelembembe, ce sont :
1/. Le Mahamba
2/. Le Mbielou - Mbielou - Mbielou
3/. Le Emela - Ntouka
- Le Mahamba résulte de l'évolution du caïman géant, communément appelé Nkoli par les originaires. Une fois atteint le stade du Mahamba ce monstre creuse un tunnel d'environ 500 mètres voire 1 kilomètre, qui se termine par un gros trou dans lequel il se repose.
- le Mbielou Mbielou Mbielou selon les commentateurs autochtones apparaît souvent au milieu de la rivière à des heures où celle - ci semble le plus calme possible. Son apparence reflète des branchages morts semblables aux cornes d'une antilope.
- L'Emela - Ntouka a une description qui renvoie au rhinocéros. Les autochtones ajoutent qu'il est en mesure de barrer toute la rivière, provoquant ainsi une chute d'eau.
Passons au lac proprement dit :
Etant originaire du petit village de Boha et m'étant rendu plus de cinq fois au lac, j'ai pu vivre certaines expériences dont trois me sont restées mémorables.
- au cours d'une pêche nocturne ayant tenté d'éclairer la berge du lac par ma lampe torche, grande a été ma surprise de voir ma lampe torche s'éteindre brusquement, l'ampoule grillée et le verre cassé. L'expérience a été également vécue par des personnes autres que moi.
- le lac n'admet aucun corps étranger. C'est à dire quelque chose une fois jetée au large du lac provoque de violentes vagues qui le ramène à bord.
- un moteur hors bord ne peut jamais naviguer sur le lac, sinon d'un coup sec tout se grille. Hormis ces trois expériences que j'ai vécues, il en existe d'autres.
Il y a par exemple, au lac certains endroits mystérieux fructueux en viande et en poissons, mais dont l'exploitation est extrêmement dangereuse, car une fois que l'on exploite l'endroit, on se retrouve victime des panthères.
Jadis, les environs du lac étaient habités par les pygmées. Ceux ci jour après jour avaient remarqué l'agrandissement du lac et entendaient des bruits horribles issus des manœuvres du monstre. Ainsi, à plus de trois fois, ils tentèrent d'aller à l'encontre du monstre.
Il arriva un jour où un homme et sa femme allant à la pêche remarquèrent des éboulements provoqués la veille par le monstre. Ils comprirent que c'est de là que résultaient les horribles bruits qu'ils entendaient chaque nuit. Ayant localisé l'endroit, ils allèrent aussitôt alerter les autres et un plan d'action fut arboré pour l'anéantissement du monstre.
Dans une première et seconde fois, les pygmées réussirent d'atteindre la bête, cependant celles ci se sauvait toujours en se jetant dans le lac. C'est à ce moment qu'ils conçurent l'idée de construire des barrages le long de la piste qu'empruntait le monstre. Il y avait au total neuf barrages. Ils décidèrent enfin d'attaquer le monstre à coups de sagaies et chaque fois les barrages constituaient un obstacle dans la progression en direction du lac. Ce n'était qu'après avoir franchi le neuvième barrage que le monstre succomba.
A cet endroit où il succomba, les pygmées voyant le monstre qui paraissait être debout, pensèrent que l'endroit était peu profond. Ils tentèrent alors par des perches de mesurer la profondeur, mais malheureusement ces perches n'atteignirent jamais le fond ? ( ces précisions servent uniquement à nous donner une idée sur la hauteur que pouvait atteindre le monstre ).
Ne pouvant atteindre le sol, le dépècement fût fait à la nage, des pirogues de viande furent remplies. Alors à la grande surprise ce n'était que le lendemain en revenant, nos chasseurs retrouvaient la bête sans aucune égratignure. Elle redevenait intacte, dit -on. Cela ne fît malheureusement pas peur à nos pygmées qui se contentèrent de manger. Tous moururent rapidement, sauf un seul; celui - là, un voyant, n'avait pas participé à l'opération. Il fût le seul survivant de ce village et le seul témoin de l'enlèvement. Ce village , de nos jours, existe encore.
Ces témoignages qui semblent fictifs sont pourtant vrais. Tous les habitants de Boha le savent; et ce que je rapporte n'est autre que le témoignage de mon grand - père et celui de certains vieux de Boha qui vivent à l'heure actuelle. Ce désastre fut l'objet de démarches auprès des féticheurs et c'est de là que sera interprété le message du monstre qui interdisait à sa femelle et à ses deux petits de ne plus poursuivre l'entreprise, qui était d'agrandir le lac et le déboucher dans les cours d'eau. L'endroit où se trouve le monstre actuel paraît être bien connu par les habitants de Boha, mon grand - père, avant sa mort, m'avait montré le prétendu endroit.
Si de nos jours, les savants parlent de l'existence d'un monstre au lac, cela n'est pas pour nous une surprise, non plus une découverte, mais plutôt une confirmation de ce que nous connaissons déjà.
Toutefois je dois vous affirmer que le lac n'est pas navigable et que la traversée en diamètre est pratiquement impossible car j'ai tenté vainement l'expérience. Mais le tour est possible et s'effectue en 12 heures. Les bêtes qui inondent le lac sont les pythons et les caïmans que l'on rencontre le long du trajet.
Le lac ayant ses réalités ancestrales, les missionnaires chercheurs ont intérêt à contacter les vieux et notables du village de Boha qui pourront à leur tour organiser des cérémonies traditionnelles leur permettant de mieux mener les entreprises. Sans quoi la mission pourra facilement échouer.
En résumé, si je me suis assigné le devoir de vous donner en quelques lignes ce bref aperçu, c'est pour éclairer certains responsables du pays qui semblent ignorer l'importante richesse que couvre ce lac. Dans le souci d'éclairer les masses congolaises sur la réalité du lac, nous demanderons à nos responsables de mettre en place un groupe de chercheurs qui se rendra compte sur place des réalités, car çà et là dans les rues de Brazzaville l'on ne cesse d'entendre les commentaires les plus épouvantables. Le moment étant venu pour l'histoire qui poursuit son chemin, nos chercheurs sont mieux placés pour en dire mieux.
23 October 2014
La cryptozoologie et le Mokélé - Mbembé à la radio au mois d'octobre 2014
Michel au cours de l'émission sur RTL le 13 octobre avec Sidonie Bonnec et Thomas Hugues.
Benoit Grison et Michel à la sortie de la Maison de la Radio suite à l'émission " La tête au Carré " le 20 octobre
Benoit Grison et Michel à la sortie de la Maison de la Radio suite à l'émission " La tête au Carré " le 20 octobre
26 July 2014
VISITE DU ZOOLOGUE FRANCOIS DE SARRE
Avant notre départ avec Céline et Ines pour le Cameroun j'ai eu la joie d'accueillir François de Sarre avec qui nous faisons régulièrement le point sur les recherches sur le Mokélé - Mbembé .
18 July 2014
L'EXPEDITION DE JUIN - JUILLET 2014
L'expédition qui se déroula du 23 juin au 11 juillet permit à deux représentantes du Comptoir Général ( Céline Degrave comme Directrice du Fonds de dotation et Ines Boudhid comme directrice de l'agence de voyage ) de se familiariser à la vie en forêt dans des zones ou je travaille depuis plusieurs années; celles du Parc National de la Lobéké, de la rivière Boumba et du fleuve Dja. Les mauvaises conditions météorologiques et la forte pluviométrie ne nous permirent pas d'atteindre les chutes Nki. Dans le cadre de la mise en place d'un partenariat touristique et d'une aide à la protection de la biodiversité nous avons pu rencontrer le Délégué régional au tourisme à Bertoua et le coordinateur des parcs nationaux du Cameroun qui sont gérés par le WWF, à Mambélé. Sans oublier bien entendu notre enquête de terrain sur la recherche du Mokélé - Mbembé avec la confirmation d'un témoignage de première main qui s'est passé il y a plusieurs dizaines d'années à l'emplacement de l'île aux abeilles, endroit même ou nous trouvâmes des traces n'appartenant à aucun animal connu de la région, lors de notre mission de juin - juillet 2013. Un autre témoignage de première main nous est parvenu de la zone de la rivière Lobéké.
Nous avons pu observer des sitatungas et bongos, les deux plus belles antilopes de cette sous - région africaine.
Céline en compagnie de réfugiés centrafricains installés dans des campements de fortune près de la ville de Yokadouma au Cameroun
Les conséquences du conflit en Centrafrique : de nombreux campements le long de la frontière avec l'est du Cameroun ou les réfugiés vivent dans des conditions très difficiles
Michel en discussion avec les réfugiés musulmans centrafricains, devant l'un des innombrables campements de fortune basés le long de la frontière camerouno - centrafricaine. Tant de remerciements pour quelques bouteilles d'eau qui pour nous dans nos pays signifient une certaine banalité mais qui pour des peuples réfugiés signifient leur survie.
Petit déjeuner à l'hôpital de Salapoumbé. Céline prend la photo, Aboubakar de dos, Ines, Joseph, Michel, Noël, Adamou
Antilope mâle Sitatunga dans le Parc National de la Lobéké
Couple de Sitatunga dans le Parc National de la Lobéké
Antilopes Bongos dans le Parc National de la Lobéké
Joseph, l'adjudant de gendarmerie qui nous accompagnait durant tout notre périple
Céline au poste frontière de Moloundou dans l'attente de la vérification de nos passeports
Toute l'équipe sur le fleuve Dja
Coucher de soleil sur le fleuve Dja
Passage difficile aux chutes Cholet, que nous ne parviendrons pas à passer
Dans le Parc National de la Lobéké. Départ pour le mirador Petite Savane. Après quelques kilomètres et quelques heures de marche...
...où il faut se frayer un passage parmi les obstacles
L'art de rentrer un matelas trop grand dans une tente trop petite !!
... et la manière de faire sécher ses chaussures !!
Avec André qui nous construisit des arbalètes
Ca gratouille !!
L'équipe au complet : Ines, Michel, Joseph, Aboubakar, Noel, Evelyne, Céline
Singe Drill, espèce très rare du Cameroun photographié lors du séjour au Centre de réadaptation des grands singes à Limbé sur les bords de l'océan Atlantique. Remarquez les canines impressionnantes.
Gorille au Centre de réadaptation des grands singes de Limbé
Nature encore sauvage à Limbé ou l'on déguste les poissons sur le bord de mer
Ce n'est qu'un au revoir
TOUTES LES PHOTOS SONT SOUS COPYRIGHT MICHEL BALLOT / CELINE DEGRAVE / INES BOUDHID / COMPTOIR GENERAL
26 May 2014
Les photos de nos archives / suite 1
Les marécages de la rivière Boumba en saison des pluies peuvent s'avérer dangereux surtout avec le nombre élevé de caïmans et de crocodiles. Philippe patauge depuis quelques heures avec moi dans ce bourbier afin d'aller rejoindre une zone isolée
Pêcheur qui vient d'attraper un boa
Un pygmée qui a vu un Mokélé - Mbembé me montre comment il se soulève de l'eau en sortant d'abord son dos. Nous sommes à l'hôpital de Salapoumbé et en arrière plan la maternité que nous avons construit.
Un 4X4 qui fût inutilisable me força à remonter jusqu'à Yaoundé dans un grumier.
Grand chimpanzé de la zone de Belabo au Cameroun
Campement dit itinérant avec du matériel léger pour faciliter les déplacements journaliers.
Marie Voignier sur le sentier forestier d'une vingtaine de kilomètres qui mène de Salapoumbé à la rivière Boumba
les enfants... trop d'enfants qui travaillent pour presque rien sur les bords des routes.
Aigle pêcheur sur les hauteurs du fleuve Dja
Sur le chemin des chutes Nki sur les bords de l'île Cholet a quoi donc peu penser cet autre grand explorateur qu'est Bill Gibbons, qui depuis les années 1980 des jungles du Congo à celles du Cameroun, recherche le même animal que moi. Ce fût aussi un grand honneur pour moi lorsqu'il me demanda en 2012 d'organiser une expédition avec lui et John Kirk. Nous mettons aujourd'hui nos connaissances et nos efforts en commun pour en localiser un.
Pêcheur qui vient d'attraper un boa
Un pygmée qui a vu un Mokélé - Mbembé me montre comment il se soulève de l'eau en sortant d'abord son dos. Nous sommes à l'hôpital de Salapoumbé et en arrière plan la maternité que nous avons construit.
Grand chimpanzé de la zone de Belabo au Cameroun
Campement dit itinérant avec du matériel léger pour faciliter les déplacements journaliers.
Marie Voignier sur le sentier forestier d'une vingtaine de kilomètres qui mène de Salapoumbé à la rivière Boumba
les enfants... trop d'enfants qui travaillent pour presque rien sur les bords des routes.
Le grand explorateur ( aussi par la taille - deux mètres ) canadien John Kirk avec qui j'eus l'honneur de partager une mission
Publication de nos archives photos. Première partie
Le fleuve Dja au petit matin
Laissez - passer... l'un des innombrables grumiers que l'on croise sur les pistes
Moment de détente au campement de Ndongo avec l'éco - garde Lucien Lucya
Sur le Dja avec l'Ami Serge Grispoux
Les chutes Nki
Silure d'environ trois mètres emprisonné sur l'île Cholet du fait de la descente du niveau du fleuve
Campement sur l'île aux abeilles
Surcharge!!
Le buffle des forêts...à ne surtout pas approcher !!
L'antilope Sitatunga, rare et élégante
Avec Remy et André à Salapoumbé avant un départ de quelques jours en forêt
...sans commentaires,ou plutôt la vie qui se poursuit en forêt
Une demie - journée pour sortir de ce bourbier
Franche rigolade avec Noël et Blaise sur le Dja
Ile Cholet, tôt le matin, Serge range son paquetage
Dans ce monde dur qu'est la forêt, une belle apparition
... ne vous y frottez pas
L'Ancien, comme on dit dans les villages... lui a vu plusieurs fois le Mokélé - Mbembé.
Faire une photo c'est quelquefois donner beaucoup de bonheur
Les pygmées se taillent encore les dents
Avec le fidèle chauffeur Adamou, originaire du grand nord du Cameroun.Nous avons parcouru plusieurs milliers de kilomètres sur les pistes ensemble au cours des dix dernières années passées.
Rare photo d'un hippo dans le fleuve Kadei au sud Cameroun seule zone où l'on trouve ces animaux dans la région de l'est frontalière de la Centrafrique
Vers les chutes Nki
Un peu de nostalgie
Eléphant de forêt
Sur la piste c'est le respect et la solidarité qui prime... Marie Voignier avec le chauffeur Anourouk
Bertoua, capitale de l'est du Cameroun... toutes les pistes sont bonnes à prendre
Pont en pleine forêt
L'arrivée vers les chutes Nki peut s'avérer quelquefois difficile.
Alfred le chef des éco gardes du Parc National Nki
Les deux petites sœurs de Salapoumbé. De tels regard me font souvent réfléchir sur la répartition de la solidarité et des richesses dans le monde...
Recto - Verso avant la Coupe du Monde, Pascal Coquis mouillant le maillot
Laissez - passer... l'un des innombrables grumiers que l'on croise sur les pistes
Moment de détente au campement de Ndongo avec l'éco - garde Lucien Lucya
Sur le Dja avec l'Ami Serge Grispoux
Les chutes Nki
Silure d'environ trois mètres emprisonné sur l'île Cholet du fait de la descente du niveau du fleuve
Campement sur l'île aux abeilles
Surcharge!!
Le buffle des forêts...à ne surtout pas approcher !!
L'antilope Sitatunga, rare et élégante
Avec Remy et André à Salapoumbé avant un départ de quelques jours en forêt
...sans commentaires,ou plutôt la vie qui se poursuit en forêt
Une demie - journée pour sortir de ce bourbier
Franche rigolade avec Noël et Blaise sur le Dja
Ile Cholet, tôt le matin, Serge range son paquetage
Dans ce monde dur qu'est la forêt, une belle apparition
... ne vous y frottez pas
L'Ancien, comme on dit dans les villages... lui a vu plusieurs fois le Mokélé - Mbembé.
Faire une photo c'est quelquefois donner beaucoup de bonheur
Les pygmées se taillent encore les dents
Avec le fidèle chauffeur Adamou, originaire du grand nord du Cameroun.Nous avons parcouru plusieurs milliers de kilomètres sur les pistes ensemble au cours des dix dernières années passées.
Rare photo d'un hippo dans le fleuve Kadei au sud Cameroun seule zone où l'on trouve ces animaux dans la région de l'est frontalière de la Centrafrique
... j'avais oublié la moustiquaire !!
Vers les chutes Nki
Un peu de nostalgie
Eléphant de forêt
Sur la piste c'est le respect et la solidarité qui prime... Marie Voignier avec le chauffeur Anourouk
Bertoua, capitale de l'est du Cameroun... toutes les pistes sont bonnes à prendre
Pont en pleine forêt
L'arrivée vers les chutes Nki peut s'avérer quelquefois difficile.
Alfred le chef des éco gardes du Parc National Nki
Les deux petites sœurs de Salapoumbé. De tels regard me font souvent réfléchir sur la répartition de la solidarité et des richesses dans le monde...
Recto - Verso avant la Coupe du Monde, Pascal Coquis mouillant le maillot
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