Lors de ses expéditions au Cameroun, Michel Ballot a trouvé en 2005 une sculpture censée représenter un autre animal mystérieux de la zone transfrontalière Cameroun - République Centrafricaine - Congo, nommé Emela N'Touka par les populations locales, ce qui signifie tueur d'éléphants. Cette sculpture est la seconde connue au monde après celle ramenée en 1997 par un guide de chasse professionnel, mais qui provient de la même zone frontalière RCA - Cameroun que celle présentée ici par Michel Ballot.

MOKELE - MBEMBE EXPEDITIONS : Depuis plus d'un siècle, explorateurs, chasseurs, missionnaires,militaires, scientifiques ont ramené de leurs périples des récits sur l'existence d'un grand animal qui habiterait les rivières et fleuves de l'Afrique Centrale. Ces témoignages furent toujours corroborés par ceux des pygmées qui le nomme : MOKELE - MBEMBE. A côté de cette recherche scientifique Ngoko s'investit dans la protection des éléphants du Parc National de NKI au Cameroun.
Le regard d'un monde vers l 'autre
22 January 2008
12 January 2008
Dans le cadre de cette expédition de mai 2007 il fallait dans un premier temps trouver une zone d'exploration écologiquement favorable à la recherche d'un grand animal connu des populatins locales des bassins hydrologiques du nord Congo et du Sud - Est Cameroun. Le cryptie est connu dans toute la cuvette congolaise par les populations locales. :
-sous le nom de Mokélé - Mbembé dans les rivières Sangha, Ituri, Likouala aux Herbes, lacs Télé, Tébéké, Foukoukou et Makélé au Congo.
- sous le nom de Diba, Songo, Badigui, Ngakoula - Ngou, Guanérou, dans le réseau fluvil frontalier de la République Centrafricaie, avec le sud - est du Cameroun etle Congo.
- sous le nom de Nyamala, Amali au Gabon.
- sous le nom de Mbokale - Muembe dans le sud -est Cameroun, dans les rivières Boumba, Ngoko et Sangha, Mbaio, Pikunda, Ikelemba, Ssambo, Ntem, maris de la Lobéké.
- sous le nom de Li - Kel Mbembe à l'extrême sud - est du Cameroun à la frontière avec le Congo.
Une fois arrivés dans la région de Moloundou, Michel Ballot et son équipe rencontrèrent des responsables locaux de la sauvegarde d la faune et peu à peu les discussions amenèrent les explorateurs à poer des questions sur les animaux peu onnus de cette immense zone.
Tant notre pisteur que les gardes forestiers de la région connaissent l'animal et nous en discutons plusieurs jours dans nos tentatives d'approches de la faune locale lors de campements itinérants. Il semble que l'animal recherché ne fait pas partie du folklore local où des légendes véhiculées par les habitants des rivières. Notre quête poursuivie auprès des cadres locaux confortera notre idée que cette espèce est bien connue et qe les habitants, bien que la craignant, en parlent comme si elle faisait partie de la faune locale connue.
La poursuite de notre mission allait se diversifers sur les deux semaines à la recherche d'indices sur l'existence du Mokele - Mbembe. Cela se traduira par des incursions en forêt profonde par notre équipe, accompagnés d'un pisteur pygmée qui viendra complétr les connaissances de notre pisteur officiel, ainsi que par des explorations en milieu fluvial de deux zones. L'une située à Moloundou, l'autre dans la zone de Koumela, toutes deux situées respectivement sur le fleuve Ngoko et la rivière Boumba.
-sous le nom de Mokélé - Mbembé dans les rivières Sangha, Ituri, Likouala aux Herbes, lacs Télé, Tébéké, Foukoukou et Makélé au Congo.
- sous le nom de Diba, Songo, Badigui, Ngakoula - Ngou, Guanérou, dans le réseau fluvil frontalier de la République Centrafricaie, avec le sud - est du Cameroun etle Congo.
- sous le nom de Nyamala, Amali au Gabon.
- sous le nom de Mbokale - Muembe dans le sud -est Cameroun, dans les rivières Boumba, Ngoko et Sangha, Mbaio, Pikunda, Ikelemba, Ssambo, Ntem, maris de la Lobéké.
- sous le nom de Li - Kel Mbembe à l'extrême sud - est du Cameroun à la frontière avec le Congo.
Une fois arrivés dans la région de Moloundou, Michel Ballot et son équipe rencontrèrent des responsables locaux de la sauvegarde d la faune et peu à peu les discussions amenèrent les explorateurs à poer des questions sur les animaux peu onnus de cette immense zone.
Tant notre pisteur que les gardes forestiers de la région connaissent l'animal et nous en discutons plusieurs jours dans nos tentatives d'approches de la faune locale lors de campements itinérants. Il semble que l'animal recherché ne fait pas partie du folklore local où des légendes véhiculées par les habitants des rivières. Notre quête poursuivie auprès des cadres locaux confortera notre idée que cette espèce est bien connue et qe les habitants, bien que la craignant, en parlent comme si elle faisait partie de la faune locale connue.
La poursuite de notre mission allait se diversifers sur les deux semaines à la recherche d'indices sur l'existence du Mokele - Mbembe. Cela se traduira par des incursions en forêt profonde par notre équipe, accompagnés d'un pisteur pygmée qui viendra complétr les connaissances de notre pisteur officiel, ainsi que par des explorations en milieu fluvial de deux zones. L'une située à Moloundou, l'autre dans la zone de Koumela, toutes deux situées respectivement sur le fleuve Ngoko et la rivière Boumba.
10 January 2008
Copyright Michel Ballot 2007
RAPPORT DE L'EXPEDITION NGOKO MOKELE - MBEMBE - Mai 2007
Michel Ballot parcourt la zone du sud - est Cameroun depuis 2004 à la recherche d'indices démontrant l'existence du Mokélé - Mbembé. Durant ces dernières années il comprit que la recherche sur le terain devait être délimitée dans une zone à facteurs écologiques favorables. Dans le sud - est Cameroun, deux ZAFEF sont censées abriter cette espèce :
- la zone formée par le Dja et la Boumba ainsi que le Ngoko ( constituant le cours amont de la Shangha ).
- la Boumba proprement dite.
Les investigations menèrent Michel Ballot et son équipe d'exploration dans la forêt communautaire de Kouméla sur une zone forestère comprise entre la Boumba et la route principale en latérite, distante de 20 kilomètres. Des contacts furent pris avec les responsables locaux, les populations locales étant d'un concours indispensable à toute exploration en forêt profonde.
08 January 2008
Dans la recherche de nouvelles espèces animales du continent africain, le triangle transfrontalier Cameroun - Congo - République Centrafricaine est certainement la région zoogéographique la plus propice à des découvertes encore possibles d'espèces de grande taille qui ont su se confondre dans les dernières zones isolées éloignées des sillons destructeurs de l'activité humaine.
Les hypothétiques formes animales décrites deviennent plus qu'évidence lorsqu'on approche la culture africaine, lorsqu'on se mimétise avec les couleurs de la grande forêt pluviale et que l'on écoute les habitants parler des animaux. Les espèces animales sont connues, toutes, sans véritables exceptions. Elles deviennent toutes rares, des primates aux proboscidiens, des artiodactyles aux carnivores, des reptiles aux oiseaux, victimes de la déforestation massive et du braconnage intensif.
Les espèces animales sont toutes connues même celles qui semblent sortir de la préhistoire ou des légendes. Elles sont rares, très peu vues des populations locales et les témoignages tiennent plus du credendo vides que du hasard. Les animaux extraordinaires que nous recherchons vivent dans des zones semi - aquatiques très inhospitalières, sont discrets malgré leur taille et devenus rarrissimes.
06 January 2008
Dans la faune actuelle, il existe cinq espèces de rhinocéros : deux réparties sur le continent africain et trois suur le continent asiatique et en Indonésie. Le rhinocéros noir - Dicéros bicornis - le rhinocéros blanc - Cératothérium simium -tous deux avec deux cornes, le rhinocéros indien - Rhinocéros unicornis - le rhinocéros de Java - Rhinocéros sondaicus - tous deux possédant une corne, et le rhinocéros de Sumatra - Dicerorhinus sumatrensis - armé de deux cornes.
Nous évoquons la survivance en Afrique Centrale d'un rhinocéros marécageux inconnu ou rhinocéros d'eau qui pourrait revêtir deux formes différentes : un pygmée et une de grande taille ornée de plaques similaires à celles connues chez le rhinocéros indien. A ces deux formes il convient d'y ajouter les deux plus énigmatiques espèces de cryptides potentiellement vivantes.
Le premier est de moeurs à prédominance aquatique avec un long cou, rappelant les dinosaures sauropodes, mais qui n'en est certainement pas un. Il s'agit du Mokélé - Mbembé proprement dit, pour les uns descendant survivant des dinosaures du Mésozoïque, assez semblable au genre Diplodocus, mais de taille plus réduite, pour les autres, un représentant des varanidés de taille encore supérieure à celles des grands varans de Komodo ou de Papouasie, ayant abaissé leur activité métabolique de carnivore pour devenir végétarien. Pour ma part je pencherai pour un mammifère semi - aquatique ayant acquis des caractéristiques propres aux milieux fluvial et marécageux.
Le second de moeurs plus terrestres mais vivant en permanence près des lacs et des rivières ressemblant au Centrosaurus, dinosaure cornu représentant du groupe à collerette courte ( 6 mètres de long, 3 tonnes, 1, 80 mètres de haut), caractérisé par une longue corne nasale parfois droite et qui pointait à la verticale mais qui certains spécimens s'incurvait vers l'arrière ou vers l'avant, surmontant le museau. Il s'agirait de nos jours l'Emela N'Touka, très probablement un mammifère
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